Ce terme fait peur et il a de quoi. L'ensemble de ces gestes peut freiner un certain nombre d’entre vous. Freiner par la crainte de mal faire ou de léser la personne. Au fil de ces lignes, j’essayerai de vous faire entendre que la vie de la personne est en jeu et que oui, vous pouvez aggraver son état… en ne faisant rien, mais certainement pas en essayant quelque chose.
Déjà,
une personne victime d’un arrêt cardiaque (ou arrêt cardio-respiratoire) c’est
quoi ? Il s’agit d’une personne :
- qui ne répond à aucune sollicitation
verbale ou stimulation physique,
- qui ne respire pas ou présente un
semblant de respiration complètement irrégulière et bruyante,
- dont le cœur ne
fonctionne plus ou d’une façon anarchique
ne permettant pas la circulation du sang dans l’organisme et donc,
l’oxygénation du cerveau.
"C’est une urgence absolue ! Sans aucune manœuvre de réanimation, chaque minute passée c’est 10% de chance de survie en moins."
Oui, j’ai bien dit chaque minute passée… En dix minutes, le cerveau de la personne aura de telles séquelles qu’il ne permettra plus d’assurer ses missions et le cœur de la personne ne repartira pas.
Nous l’avons vu dans mon article concernant l’alerte des secours, en moyenne avant leur arrivée, il peut s’écouler jusqu’à 15
minutes. Inutile d’être mathématicien, une simple lecture de ces chiffres
suffit pour comprendre qu'il faut agir et agir très rapidement...
"Vous, citoyen, êtes un maillon essentiel dans la chaîne de survie ! C’est vous le premier témoin sur place qui pouvez avec quelques connaissances de base, aider avec vos moyens à sauver encore plus de vies."
Il faut le savoir, chaque année en France 50 000
personnes décèdent d’un arrêt cardiaque. Dans sept cas sur dix, un témoin est
présent. Alors pourquoi notre taux de survie est seulement de 5% en France ? Parce que
malheureusement, trop peu de personnes connaissent les gestes de premiers
secours et agissent avant que les secours arrivent.
L’arrêt cardiaque est principalement causé par les
maladies cardio-vasculaires comme l’infarctus
du myocarde. Dans près de 50% des cas constatés, cet arrêt cardiaque
survient brutalement. Vous avez d’ailleurs peut-être entendu parler de la mort subite de l’adulte, c’est aussi un
terme désignant l’arrêt cardiaque. Il y a bien entendu d’autres causes menant à
l’arrêt cardio-respiratoire comme les hémorragies, les brûlures graves, les
étouffements et les traumatismes, les noyades ou encore les intoxications.
"L’apport d’oxygène étant indispensable pour vivre, toute altération de ce dernier conduit à des lésions du cerveau parfois irréversibles et donc à des risques d’arrêt cardiaque."
Je
vous vois trépigner puisque je vous donne des chiffres, des causes, des risques
mais toujours pas de geste. Comme je vous comprends, mais nous n’avons pas
tout à fait terminé de discuter avant d’agir. En effet, vous avez même
peut-être déjà remarqué, je n’ai absolument pas parlé du défibrillateur… Eh
bien oui, ce DAE comme on le nomme
pour Défibrillateur Automatisé Externe.
Notre cœur n’est certes pas branché à la prise de courant
mais pourtant il produit de l’électricité, si, si, je vous jure ! Il en produit
à partir d’un point précis du cœur qui ne mesure que quelques millimètres de
diamètre appelé nœud sinusal. Nous
n’allons pas faire un cours d’anatomie je vous rassure, ce n’est pas l’intérêt
ici. Mais vous le savez désormais, le cœur est notre tableau électrique.
C’est
bien là où je veux en venir. Lorsqu’il s’arrête ou qu’il fonctionne d’une façon
anarchique comme on l’a vu plus haut
dans la définition, un choc électrique donné par le DAE permet, couplé à des
gestes de réanimation, d’aider le cœur à (re)battre.
"Le défibrillateur est utilisable par tout le monde, même si vous n’avez pas (encore) la formation en prévention et secours civiques (PSC1) ou n’avez pas été sensibilisé aux gestes qui sauvent."
C’est important de le savoir et de le
retenir, vous pouvez utiliser un DAE
en cas d’arrêt cardiaque s’il en existe un près de vous. Si j’insiste, c’est
qu’on lit des choses fausses sur internet et notamment sur certains forums de
discussions. D’autre part, vous ne risquez absolument rien en utilisant cet
appareil.
Je
vois que vos yeux sont ouverts comme des billes après avoir lu tout ce qu'il faut
faire en attendant les secours. En effet, l’arrêt cardiaque est une situation d’urgence
où l’on a des gestes à effectuer tout en accompagnant ces derniers avec un défibrillateur (s’il se trouve à
l’endroit où l’on est).
Je sais, ce n’est pas facile et pour vous aider à retenir l’ordre des priorités, trois mots pour la chronologie de la conduite à tenir :
Je sais, ce n’est pas facile et pour vous aider à retenir l’ordre des priorités, trois mots pour la chronologie de la conduite à tenir :
- Alerter les secours après avoir constaté l’arrêt cardiaque,
- Masser en effectuant une réanimation par des compressions
thoraciques,
- Défibriller en mettant en œuvre un défibrillateur précocement s’il
en existe un à vos côtés.
Vous allez être enfin
satisfait, nous passons maintenant aux gestes d’urgence à effectuer auprès
d’une personne qui vient de tomber devant vous, victime d’un arrêt
cardio-respiratoire…
Vous vous souvenez de l’évaluation de la conscience et de
la respiration chez une personne ayant perdu connaissance (sinon, pas de panique, rendez-vous sur mon article concernant la perte de connaissance) ? Eh bien ici,
c’est la même chose. On va devoir regarder si la personne est consciente ou
inconsciente et si elle respire ou ne respire pas. Jusque-là, rien de bien
nouveau.
La première des choses à faire, c’est donc de lui poser des questions simples comme :
« vous m’entendez ? »
ou « ouvrez les yeux ! ».
Ensuite, il faut la stimuler, secouez
doucement les épaules et lui prendre la main en demandant de la serrer. Rien ne
se passe… Désormais, il faut évaluer la
respiration sur une dizaine de secondes.
C’est à partir de ce moment que les choses changent. En effet, la personne ne respire pas ou vous entendez un semblant de respiration inefficace et bruyante, ces mouvements sont appelés des gasps. Si cela se produit, vous allez vous rendre compte que ce n’est pas une respiration comme vous la connaissez habituellement. Je vois que vous vous posez les questions suivantes : « et si je me trompe et qu’en fait, elle respire bel et bien ? » ou « je n’arrive pas à savoir réellement si elle respire ? »
"Sachez qu’en cas de doute, il n’y a aucun risque à effectuer une réanimation par des compressions thoraciques même si vous vous trompez et que la personne respire. Au moindre doute : entamez une réanimation !"
Si vous êtes tout seul avec la personne, alertez tout de suite les secours
maintenant que vous savez qu’elle est en arrêt cardio-respiratoire. L’alerte précoce est primordiale pour
un départ en intervention rapide des secours. Une fois les informations
données, les secours vont certainement rester en ligne avec vous tout au long
des prochaines étapes pour vous aider et surtout vous encourager. Pour ce
faire, ils vous demandent de mettre votre téléphone en haut-parleur. Si vous
êtes plusieurs, répartissez-vous les tâches pour être encore plus efficace et
rapide.
Si vous savez qu’un DAE
se trouve à proximité (centre commercial, cinéma, gymnase…), allez le chercher et dites-le aux
secours au téléphone. Une fois récupéré, allumez-le tout de suite et vous
n’avez plus qu’à suivre ses instructions.
Il va falloir dénuder le torse de la personne qui se trouve sur le dos.
Ensuite, vous devez coller les deux électrodes sur la peau de celle-ci en
prenant soin de les placer comme indiqué à la fois sur l’électrode par un
dessin et en écoutant les instructions de l’appareil.
Une fois les deux électrodes positionnées sur la personne en arrêt cardiaque, le DAE va pouvoir travailler. Son but premier va être d’analyser le rythme cardiaque de la personne. Il va observer pendant quelques secondes comment fonctionne le cœur et s’il est conseillé d’envoyer un choc électrique à travers ce dernier pour l’aider à reprendre une activité cohérente et normale. Vous ne faites que suivre ses indications, tout ce travail fourni par le DAE n’est pas visible.
Attendez
simplement d’avoir le feu vert pour
la suite des évènements et surtout, n’entravez
pas l’analyse du rythme effectuée par le défibrillateur. S’il y a un choc
envoyé par le DAE, enlevez-vous de la
tête ce que vous avez peut-être déjà vu dans certaines séries télévisées où la
personne fait un bond en l’air. Non, ça, c’est de la fiction ! La personne
va « simplement » avoir un mouvement au niveau du thorax.
"Une fois le défibrillateur mis en place, vous ne devez pas le retirer. Il ne vous gêne pas pour effectuer les compressions thoraciques à venir."
Attaquons justement ces compressions thoraciques. Elles vont
permettre de remplacer les mouvements
effectués normalement par le cœur de façon systématique. En effet, c’est vous
qui allez jouer le rôle du cœur en
rétablissant une circulation sanguine « artificiellement ».
Le fait d’effectuer une pression sur le thorax entraine le cœur à se remplir de sang et de l’éjecter vers l’organisme. On peut comparer ce système à une éponge, oui, je vous vois sourire mais imaginez-vous cet exemple lorsque vous gorgez une éponge d’un liquide puis que vous la serrez entre votre main, le liquide s’éjecte. Voilà grossièrement ce qui se passe lors des compressions thoraciques.
Le fait d’effectuer une pression sur le thorax entraine le cœur à se remplir de sang et de l’éjecter vers l’organisme. On peut comparer ce système à une éponge, oui, je vous vois sourire mais imaginez-vous cet exemple lorsque vous gorgez une éponge d’un liquide puis que vous la serrez entre votre main, le liquide s’éjecte. Voilà grossièrement ce qui se passe lors des compressions thoraciques.
"Que ce soit pour un adulte, un enfant ou un nourrisson, vous devez comprimer le thorax de la personne en arrêt cardiaque 30 fois de suite suivie de 2 insufflations par le bouche-à-bouche pour un adulte et pour un enfant et par le bouche-à-bouche et en englobant le nez pour un nourrisson."
Pour le déroulé des conduites à tenir, je vais vous
expliquer tout d’abord les indications à suivre pour un adulte, ensuite pour un
enfant et nous terminerons par le nourrisson.
Ça y
est, c’est parti, un adulte est en
arrêt cardio-respiratoire devant vous, vous l’avez décelé après avoir évalué
sa conscience et sa respiration : rien ne se passe. Vous venez à l’instant
d’appeler les secours et vous allez entamer la réanimation cardio-pulmonaire
(ou RCP) en installant un DAE s’il y en
a un près de vous. Le tout en couplant les
compressions thoraciques avec le bouche-à-bouche :
• placer le talon d’une main
au centre de la poitrine, entre les deux pectoraux, en restant sur la moitié
inférieure du sternum,
• placer l’autre main
au-dessus de la première soit en entrecroisant les doigts des deux mains ou les mains l’une sur l’autre
tout en évitant d'appuyer sur les côtes,
• réaliser 30 compressions sur
le sternum d'environ 5cm sans dépasser 6cm tout en veillant à :
- garder les
bras parfaitement verticaux et bien tendus,
-
verrouiller les coudes,
- maintenir
une fréquence comprise entre 100 et 120 compressions par minute,
- assurer
un temps de compression égal à celui du relâchement,
- entre
chaque compression, laisser le thorax reprendre sa forme initiale, sans décoller
vos mains de la peau de la personne.
Oui, c’est très
fatigant et c’est bien pour ça qu’il est intéressant d’être plusieurs à
effectuer une réanimation afin de se relayer jusqu’à l’arrivée des secours. En aucun cas il ne faut arrêter la
réanimation, le cœur a besoin de répétition pour l’aider à repartir. Pas de pause possible tant que les
secours ne sont pas arrivés et prennent votre relais.
Je vous ai dit qu’il fallait coupler les compressions
thoraciques avec le bouche-à-bouche.
Il est évident que devant une personne qui a vomi, a saigné ou a des
salissures sur le visage qui vous repoussent,
vous devez vous focaliser uniquement sur le massage cardiaque sans effectuer
d’insufflation. En revanche, dans ce cas précis, vous ne vous arrêtez en aucun cas jusqu’à ce que les secours arrivent.
Afin de vous encourager à effectuer les insufflations qui
vont apporter de l’air aux poumons de la personne, il existe en vente des
masques permettant de ne pas être en contact direct avec la personne en arrêt
cardio-respiratoire. Ils possèdent une valve anti-retour ce qui permet ainsi
d’effectuer les 2 insufflations avant de reprendre par la suite les 30
compressions thoraciques. Dans l’urgence et sans ce masque, vous pouvez
également intercaler entre votre bouche et celle de la personne du papier essuie-tout, mouchoir, bref, tout ce qui peut éviter d’être en contact direct
mais qui laisse passer l’air efficacement bien entendu.
Pour le bouche-à-bouche,
la technique est la suivante :
• basculer la tête de la personne
en arrière comme pour l’évaluation de la respiration,
• pincer le nez de la personne
entre le pouce et l’index, tout en maintenant la bascule en arrière de la tête
avec la main qui est placée sur le front,
• ouvrir la bouche de la personne
et maintenir le menton élevé avec votre autre main,
• inspirer pour remplir les
poumons d’air sans excès,
• appliquer la bouche
largement ouverte autour de la bouche de la personne,
• insuffler progressivement
jusqu’à ce que la poitrine de la personne commence à se soulever (environ 1
seconde),
• se redresser tout en
maintenant la bascule de la tête en arrière,
• reprendre de l’air et insuffler
une seconde fois.
Pour que votre bouche-à-bouche soit optimal, il faut bien s’assurer que la tête de la personne soit en bonne position et que son menton soit élevé. Assurez-vous qu’il y ait une bonne étanchéité lorsque vous placez votre bouche. Si les insufflations ne passent jamais, recherchez l’éventuelle présence d’un corps étranger dans la bouche. Dans ce cas, le retirer avec les doigts, si nécessaire. N’allez pas pour autant voir dans le fond de la gorge, retirez uniquement ce à quoi vous avez accès rapidement (dentier décroché, bonbon, etc.).
"Vous venez ici de faire le maximum de ce qui est possible à votre niveau. Mal faire un geste n’est pas néfaste pour la personne en arrêt cardiaque mais ne rien faire peut conduire à la mort."
Passons
maintenant aux enfants. Un jeune
enfant est en arrêt cardio-respiratoire devant vous, vous l’avez décelé après
avoir évalué sa conscience et sa respiration : rien ne se passe. Vous
venez à l’instant d’appeler les secours et vous allez entamer une RCP en installant un DAE s’il y en a un près de vous. Le tout en couplant les compressions thoraciques avec
le bouche-à-bouche :
• placer le talon d’une seule
main sur le thorax, au milieu de la poitrine et entre les pectoraux,
• relever les doigts pour ne
pas appuyer sur les côtes,
• réaliser 15 compressions thoraciques
en veillant à enfoncer le thorax de l’enfant sans dépasser
5cm (soit le tiers de son épaisseur).
En présence d’un enfant de grande taille et/ou
ayant une bonne corpulence, vous pouvez utiliser la même technique que chez un
adulte avec vos deux mains au lieu d’une seule. A l’inverse, concernant le DAE, si l’enfant a une petite taille, ne
permettant pas de positionner les électrodes comme indiqué sur le dessin, vous
devez coller une première électrode sur le thorax à l’endroit des compressions
thoraciques et la deuxième dans le dos, entre les omoplates de l’enfant. Ainsi,
le courant électrique passera entre les deux électrodes, le cœur étant entre
ces dernières. L'électrode placée à l'avant ne vous gêne pas pour les compressions thoraciques.
Les deux insufflations par le bouche-à-bouche se
déroulent exactement comme pour celles faites chez un adulte.
Nous
arrivons au terme de cet article avec la réanimation d’un nourrisson. Ce n’est pas une partie facile, mais il faut savoir
réagir devant un tout petit Être qui
est en arrêt cardio-respiratoire. On en voit malheureusement chaque année suite
à des étouffements, noyades et également avec la mort inattendue du nourrisson (appelée aussi mort subite du nourrisson).
Après avoir décelé que ce dernier ne réagit pas et ne
respire pas, la technique pour les compressions thoraciques est, bien évidemment,
différente de celle effectuée chez un adulte ou un enfant. Déjà, avant d'effectuer la réanimation, on va
préférer un endroit autre que le sol comme une table ou quelque chose de
haut. Ceci afin d’être plus à l’aise et prévenir d’un sol qui serait trop
froid pour le nourrisson. Ensuite, il faut entamer rapidement les compressions
thoraciques :
• placer la pulpe de deux
doigts d’une seule main sur le sternum, juste au-dessous d’une ligne imaginée
entre les deux tétons,
• réaliser 15 compressions thoraciques
en enfonçant le thorax du nourrisson sans dépasser 4cm (soit le tiers de son
épaisseur).
Concernant l’apport d’air artificiel, on va ici utiliser
le bouche-à-bouche et le nez du
nourrisson pour les insufflations :
• placer la tête du nourrisson
en position « neutre », ne pas effectuer de mouvement sur le front
qui pourrait léser les vertèbres cervicales,
• englober avec la bouche à la
fois la bouche et le nez du nourrisson,
• insuffler progressivement
jusqu'à ce que la poitrine du nourrisson commence à se soulever (environ 1
seconde),
• se redresser en maintenant sa
tête en position « neutre » et reprendre de l’air,
• insuffler une seconde fois
dans les mêmes conditions.
"Comme pour l’adulte et l’enfant, vous devez utiliser un défibrillateur pour un nourrisson si vous en avez un à disposition près de vous. Les DAE sont utilisables sur toute personne en arrêt cardio-respiratoire."
Il faut le
savoir, même en l’absence d’électrodes dites pédiatriques, vous pouvez
utiliser les électrodes adultes. Pour ce faire, comme nous l'avons vu précédemment la première électrode sera
placée à l’avant, le haut de celle-ci au niveau du sternum et la deuxième
électrode collée dans le dos du nourrisson afin que le cœur se retrouve au
milieu des deux électrodes.
Vous venez ici de lire la
partie qui est la plus technique couplant compressions thoraciques,
bouche-à-bouche et DAE. L’arrêt cardiaque est une détresse
immédiatement vitale et rien ne doit être laissé de côté pour sauver la vie
de la personne.
Je vous encourage à continuer de vous informer, le mieux de tout reste et restera la formation PSC 1 (Prévention et Secours Civiques). Vous avez également les sessions de gestes qui sauvent, bref tout ce qui est bon pour maintenir vos connaissances et ne pas vous laisser dépasser lors d’une situation d’urgence comme ici lors d'un arrêt cardiaque.
Je vous encourage à continuer de vous informer, le mieux de tout reste et restera la formation PSC 1 (Prévention et Secours Civiques). Vous avez également les sessions de gestes qui sauvent, bref tout ce qui est bon pour maintenir vos connaissances et ne pas vous laisser dépasser lors d’une situation d’urgence comme ici lors d'un arrêt cardiaque.